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Me (ah bon)
Go on with the rythm (quel anglais, i'm a frenchie...)

Il est tôt. Trop tôt pour un lendemain de fête de la musique.
L'ivresse encore dans ma tête. C'était sauvage, extatique, pulsionnel, et doux. Je ne sais pas si j'ai compris les instants vécus. Je crois que j'ai vécu.

Donc, à 20h30 et des poussières, j'ai retrouvé Nico, Seb et Jean-Sé (abréviation typiquement "j'ai des potes donc je leur donne de petits surnoms-diminutifs-qui-font-qu'on-est-encore-plus-potes"), à Odéon, en bas de chez moi.
Foule. Bruit.
Odeurs de bière, d'été, poussière âcre mêlée à la respiration du fleuve humain, de la chaleur sèche qui assomme et fustige à la fois.

C'était une nuit longue et courte. Sommeil de 07h30 à 15h30. Réveillé par je ne sais quoi. Par le besoin de noter tout ça, peut-être. Ca y est, je suis lié. Non seulement chez les autres, mais aussi... "chez moi". Ha. Ca y est. J'appelle cet endroit "Chez moi". C'est foutu, je crois ; indépendance, je te mets sur le carreau. Bye.

On a marché, frôlé les corps en mouvement. C'est peut-être ça que je préfère et que je déteste le plus, dans cette nuit si particulière de l'année, c'est cette épaisseur mouvante, en même si légère et si lourde, de la foule qui envahit les rues. Tiens, je vais refaire mon Parisien : MES rues. MA rue. Chauvin, en plus? Quand même pas...
Hommes et femmes qui ont sorti leur plus bel apparat, l'espace d'une nuit. Change selon les quartiers.
Dans le Marais, débardeur blanc moulant et pantalon de toile souple ou jean,
A Saint-Germain, le côté un peu "Hippie-chic", cette mode du jupon, des colliers aux petites pierreries, les spartiates fashion,
A Odéon, un mélange de bourrins du hard-rock, qui lancent le poing en avant en hurlant des obscénités, et de jeunes-modes, au jean qui tombe jusqu'aux genoux, et la coupe de cheveux étudiée,
A Saint-Michel, le grand melting-pot.
J'aime faire des généralités stupides comme celles-ci. Allez, on va classer tout le monde par quartier, chacun sa case. Rangez-moi tout ça.

Errance entre Saint-Germain et Odéon, nos guitares sur l'épaule. Seb avait pris son harmonica. Ce type est un dieu de l'harmonica. C'est un des seuls que j'aie jamais vu maîtriser à ce point cet instrument. Je dois dire qu'ici, je l'admire presque. Et c'est rare.

Passages en différents endroits, on entend un groupe de jeunes ados de 15-16 ans qui s'escriment à chanter du Placebo (difficile avec la voix de Richard Cocciente). On regarde quelques instants trois filles déclamer avec énergie des chansons de Bénabar, Vincent Delerm (je ne supporte pas ce type et sa voix qui fait les montagnes russes) and co. Là, ce sont des adultes nostalgiques qui entonnent à la Vieille Grille des textes de Brassens, là-bas, d'autres djeun's qui grattent leur basse en sautant partout, avec une petite foule hystérique. De la techno résonne au fond, on voit des mecs torse nu sauter sur une camionnette, avec une sono qui hurle. Avons même entrevu un quatuor à cordes, jouant La Jeune fille et la mort, de Schubert. (oui, j'ai ma culture, quand même)

Regards interrogatifs qui nous suivent parfois, scotchés à nos guitares : de probables musiciens des rues, d'ici quelques instants? Certains nous ont même emboîté le pas, demandé : "Vous jouez?" "Peut-être. Il faut d'abord trouver une place."

Comme ça, après avoir cheminé quelques heures, on s'est posé dans un coin, entre Odéon et Saint-Germain, au croisement de deux petites rues. La foule partout, même jusqu'ici.
Je n'avais pas envie de jouer. Pas vraiment ; pas envie de m'exposer (d'exposer ma gloire internationale aux yeux des fans en furie?).

Pourtant, je l'ai sortie. Santiag. Tiens, encore un truc que j'ai fait par mimétisme pour me foutre des manies du show-bizz ; j'ai donné un nom à ma guitare. Attention, j'ai bien choisi, un nom bien à la fois 'original et démarqué', et 'fashion' à la fois. Alors, Santiag, je te présente.

C'est un des rares plaisirs immenses, profonds, que j'aie si fort dans la vie. Jouer. Courant électrique qui me parcourt. Frissonnement aux premiers accords.
Et on s'est retrouvé à explorer les profondeurs de Bob Marley, dans un chassé-croisé avec du jazz manouch -sans doute ce que je préfère-, quelques chansons bien célèbres, histoire de se marrer un peu -Beatles, Rolling Stones, Pixies (j'aime tant Where is my mind)...-. 
Jouer, et ne plus penser. Ne plus penser à rien d'autres qu'au rythme qui traverse la peau, à la musique qui transperce. Ca fait mal, parce que l'on ne parvient plus à penser à quoi que ce soit, et c'est terriblement bon, parce que c'est ça, justement, qui en fait tout l'intérêt. Ce n'est plus que la musique qui habite, alors le reste du monde se tait en soi. Juste le chemin qui vit. Silence radio autour. Comme une plante qui pousse sous le béton. Métaphore poétique, te revoilà. Chope de 'rien' autour de ce truc si particulier qui me brûle de l'intérieur. Musique, là.

Et puis, de temps en temps, j'émerge. Mes yeux qui viennent se perdre autour de moi, et je remarque que de quart d'heure en quart d'heure, il y a de plus en plus de monde autour de nous. De deux touristes perdus, on passe à une petite demi-douzaine d'ados amusés, puis une vingtaine de passants qui écoutent attentivement, marquent parfois une pulsation avec le pied sans pouvoir s'en empêcher, murmurent d'abord les paroles, puis osent chanter en se marrant.
Ca y est, célébrité te voici. (quelle ironie)

Des filles qui s'improvisent fan, c'est drôle, ridicule, flatteur et touchant à la fois. Deux d'entres elles viennent s'asseoir près de nous, et demandent de chanter du Ben Harper. Bon. On s'y met.  La rue étant étroite, il y a en parmi ceux qui sont ici qui s'assoient contre le mur, une petite dizaine qui est certaine de passer là le reste de l'heure au moins. Mine de rien, ça fait plaisir.

Alors, on joue. Encore et encore.
Puis, je commence à sortir un peu de cette bulle, de cette chope, de cette cloche sous vide, et peu à peu, il y a comme une ouverture, je ne sais pas. Ouais, une ouverture. Je regarde, je souris. Je. M'humanise, presque. Moins d'ironie, moins de distance, moins de hauteur. Je les regarde, ces gens, et ça me fait presque plaisir qu'ils soient là. Pas envie d'être seul, pas envie d'être accompagné non plus. Ils sont là, ils nous écoutent, Nico et moi à la gratte, Seb avec son harmonica et Jean-Sé qui s'est improvisé une contrebasse avec son manche de balais qu'il trimballe partout avec lui, et une corde surgie de sa poche-nulle part. Et on prend notre pied.

C'est un peu à ce moment-là que je l'ai remarquée, cette fille.
Ca y est, je vois déjà, ça fait faire cliché feuilleton de série B. Allez, qu’on rigole un peu. Je vais le faire.
Elle était dans un coin, avec cet air à part…
Yeah, quel bon début. Manque plus que l’impression floutée sur la foule tout autour, et le gros plan sur ses yeux, avec un saxophone qui dégouline en fond sonore.

Non, juste, j’ai levé les yeux à un moment, et en effet elle était là, dans un coin. J’ai juste trouvé qu’elle avait des yeux de fous. Il faisait suffisamment clair dans la rue pour que je perçoive les traits de son visage, et en même temps, suffisamment sombre pour entretenir le mystère et me donner envie de regarder encore. Bref, l’instinct animal qui pousse à regarder autour de soi, n’est-ce pas, puisqu’il faut bien que je trouve une excuse.
Un air à part, pas vraiment. Juste, les yeux fixés sur moi. Mais avec une désinvolture. Elle détournait les yeux, et avait parfois l’air de se foutre complètement de ce qui se passait autour d’elle. Elle était là, et le monde pouvait s’arrêter de tourner, elle ferait ce qu’elle voulait. C’est la sensation que j’ai eu en la regardant. Voilà, maintenant je vais continuer dans le lyrisme du « cas à part » : elle ne tapait pas des mains, elle ne fredonnait rien. Elle avait juste un petit sourire en coin, de temps en temps, et elle fumait.
Je ne sais pas pourquoi, ça m’a amusé et agacé considérablement à la fois.
Et
cette fille, là, j’aurais presque eu envie de dire cette idiote, parce qu’elle m’énervait, avait des yeux incroyables. Vraiment, j’en ai rarement vus comme ça. Les sourcils très arqués, fins, très au-dessus des yeux, qui étaient grands. Les yeux qui rendent n’importe qui fou de jalousie, parce qu’en plus, comme j’ai pu le confirmer plus tard, ils me semblaient être faits d’un mélange de couleur, un truc commençant par du brun sur les côtés, et tirant sur le jaune bleuté au centre –mais ça, je n’ai pu le vérifier que plus tard-.

Bon, je commence à m’emmerder moi-même à décrire tout ça, c’est encore trop vivant pour que je prenne un réel plaisir à tout décrire, point par point.

Toujours est-il qu’à un moment, on a fait une pause. Des « fans » sont partis, le coin s’est vidé en un rien de temps. Juste quelques uns restaient, comme ça, par petits groupes, à discuter. Elle, elle était avec trois mecs. Trois beaux, grands, avec de la gueule. Qui parlaient entre eux. Semblaient amis. L’ont charriée gentiment : « Alors, toujours en train de méditer ? »
Bref, nous, avec Nico and co (haha), on a allumé nos clopes (voilà, encore quelque chose que j’ai fait pour me foutre de la gueule de ceux qui y prenaient un réel plaisir, qui en avaient vraiment besoin –je me rappelle que je prenais volontairement un air ultra-artificiel, en 1ère, pour singer les j’me-la-pête qui fumaient–, sauf que là, je me suis fait piéger à mon tour. Quel con.), et on a posé nos grattes.
Elle nous regardait, comme ça, assise sur son bout de trottoir, à deux mètres en face.

Alors, Nico lui a lancé : « T’as aimé ? », en rejetant la tête en arrière, pour imiter une star de cinéma. Ca l’a fait marrer, elle a souri. « Pas mal. » Ils ont commencé à parler un peu, Nico et sa tchatche, Nico la beau gosse attitude, comme d’hab.
Puis elle a dit : « Ca vous dérange si j’essaie deux trois trucs ? » On a dû la regarder d’un air amusé, parce qu’elle s’est levée d’un coup, et est venue en deux pas vers moi. « Je peux ? » Elle avait vraiment des yeux de tarés.

Mon dieu, je suis train de faire du Marc Levy. Ca devient du n’importe quoi.
Bon, tant pis, je continue mon roman pour ados.

Elle a pris ma gratte,
Elle m’a touché les lèvres et m’a dit : je peux tester ?...

Hein ? Non ça va pas. Quel cliché, je l’ai mis juste pour me marrer…

Elle a mis quelques secondes à poser ses mains. Et là, elle nous a bluffés.
Elle connaissait tout le répertoire rock possible. Tout. Pixies, Gun&roses, Nada Surf, Clash, the Doors, Neil Young, Rolling Stones, Pink Floyd, même les nouveautés, White Stripes, même Keane, cette daube, tout. Avec une voix pas mal, en plus.
On est restés comme des cons à la regarder chanter des tas de trucs. C’était vraiment dingue.

Ensuite, on a un peu repris nos esprits, et puis j’ai pris la guitare de Nico, et je l’ai accompagnée, en basse. Elle a continué à chanter et à jouer. Et ça a duré je ne sais pas combien de temps. Lorsqu’on s’est arrêtés, y a avait du monde tout autour, et Jean-Sé nous accompagnait à l’harmonica.
Là, ma bulle s’était étendue à nous deux. Mais c’était pas une bulle de désir, non, c’était juste une sphère de partage. On fait notre musique, voilà. C’est l’instant, sans arrière-pensée. Quoique qu’en dise le regard qui se voulait complice et gouailleur de Nico.

J’ai rendu sa gratte à Nico, ils se sont remis à jouer avec Seb et Jean-Sé, des passants ont chanté, et elle m’a tendu ma guitare à son tour. On s’est retrouvé là, après ce bon moment.

Elle me regardait, de temps en temps, avec ses yeux. Oui, regarder avec ses yeux, d’accord… J’emmerde la grammaire française et ses formules à la con.

Et puis je ne sais pas comment, on s’est retrouvés tous les deux debout, dans la rue, à marcher. J’ai pas envie d’oublier comme elle était ; faut que je le note. Les cheveux bruns, longs, qui partaient un peu n’importe comment en bas, effilés et fatigués. Ce que j’ai aimé, c’est qu’elle n’avait pas cette énorme raie sur le côté qu’on toutes les filles aujourd’hui, que ça leur aille bien ou mal. Des cheveux nature, c’est tout. Donc, les yeux, je ne vais pas en reparler. Un jean, un marcel noir, avec un collier en grosses perles de bois. Oui, le truc ethnique un peu à la mode, elle m’a dit. « Mais j’aime bien, alors je le porte. » Des tongs en cuir ocre, un bracelet doré mat, deux trois trucs noués autour de ses poignets, un sac tout mou avec deux trois choses fourrées dedans, et c’était tout.
Lorsque j’ai dit que c’était assez nature, somme toute, elle m’a dit « Oui, comme les yaourts ». C’est con, mais j’ai adoré.

Donc, on a marché, dans les petites rues du coin, sans trop s’éloigner, et on a parlé. Je ne sais plus de quoi. Musique, vie, plus tard. On s’est arrêté pour regarder quelques groupes, on parlait beaucoup, puis moins, puis plus, puis parfois des silences, mais c’était tout simple, dépouillé, simple, oui.
Ca me faisait rigoler un peu, de les avoir laissés là, dans la rue, et de m’être cassé avec la fille. Alors que je n’avais pas forcément de vues sur elle. Enfin peut-être si. Je n’oublie pas, quand même. Je ne t’oublie pas. Chut.
A un moment, elle s’est tournée vers moi, et elle m’a dit, c’était étrange : « Je ne t’embrasserai pas parce que ça ferai trop cliché. » Elle a rigolé, puis elle m’a dit : « On va les retrouver ? » Puis elle a ajouté : « Enfin parfois, les clichés ça a du bon ».
Tellement simple.
Une sorte d’alchimie toute bête.

Là- bas, Seb m’a fait un clin d’œil lorsqu’on est revenu, et je lui lancé un regard explicite qui l’a détrompé sur les idées qu’il se faisait. On a encore joué et chanté, puis à un moment, je ne sais pas quelle heure il était, il devait être très tôt sûrement, parce que Jean-Sé a levé les yeux, et on a vu le jour qui pointait. On s’est levés et la foule s’est dispersée. Tous emprunté le même chemin, vers les grandes rues, puis est venu le moment de se séparer.

On s’est dit au revoir avec la fille et ses acolytes, auxquels je n’avais pas beaucoup parlé d’ailleurs, avec lesquels j’avais plus trinqué et chanté qu’autre chose.
Nico s’était trouvé deux trois filles-fans qui avaient du mal à décoller, c’était drôle, il faisait son beau, mais toujours avec cette ironie derrière qui montre qu’il s’en fout un peu.

La fille m’a pris par le bras et m’a dit : « Je te dis au revoir. Au revoir. » Elle était tellement space. Elle m’a souri : « Tu es qui ? » Je lui ai dit mon nom, et j’ai exigé une rançon en retour. Elle a sorti un bic de son sac bordélique, et m’a écrit un truc sur la main. « Tu vas là, c’est quelque part dans Paris, et il y en trois qui ont le même nom, mais je ne sais plus l’adresse. Cherche, tu trouveras bien. Je travaille là-bas en soirée, moi c’est Lisa. T’es pas obligé. »
Elle m’a fait la bise, simplement –je hais cette expression, « faire la bise »–, et puis elle est partie avec ses trois grands potes.

A peine ils avaient tourné le coin de la rue, Nico, Seb et Jean-Sé m’ont sauté dessus : « Waaaaaahlors ?? » « Alors, rien ». Ils se sont marrés, ils m’ont dit : « Viens, on va fêter rien », et on s’est retrouvés sur les quais avec une bouteille de je ne sais plus quoi sur les quais de la Seine, à six heures. Le jour tout là-bas, l’eau en-dessous, putain, c’était magique.

J’irai peut-être. On verra. Le problème, c’est que la moitié du nom est effacée. J’ai la flemme de chercher l’autre bout. Surtout s’il y en a trois pareil dans Paris. Mais cette fille était tellement… je sais pas. Ca n’était pas un instinct animal de désir, de bête, de « je la veux », ni un truc de dragouille à deux balles, de séduction énorme. Une entente, avec ce petit plus qui la fait ‘autre’.
Mais je n’aime pas les « après », c’est toujours différent. Elle sera peut-être déçue. Je sais pas.
Connement, j’ai peut-être pas envie d’oublier Emilie. Je suis stupide. Arrête de ruminer dans ta gadoue.

La beauté sera convulsive ou ne sera pas.

Ecrit par Dezk, à 18:04 dans la rubrique "Actualités".

Commentaires :

  emberlificoteuse
emberlificoteuse
22-06-05
à 20:16

Humpf.

Décidément, tu emberlificoteuse drôlement bien.


[Et puis merde, voilà, passons outre pleins de trucs. (Telle que fierté, orgueil, pas envie de me rabaisser à te remonter un peu plus haut encore)]

J'aime ce que tu écris. Les mots, les formules connes, l'humour, la légereté, les drôleries, les trucs beaux, les choses en elles-mêmes.


  Dezk
Dezk
26-06-05
à 21:23

Aoh.

[Le fait que tu soulignes mon orgueil te rabaisse-t-il pour autant? Je me pose la question.]

J'écris, je crois, et c'est tout. Je crois que ce que j'ai le plus apprécié dans ton opinion, c'est "les choses en elles-mêmes", plus que les autres mots. Parce que le reste, après tout, ce n'est que style. Alors, c'est peut-être la preuve à moi-même que je pense pas trop mal les choses, pour que ces choses soient dignes d'intêret. Parce qu'en fait, j'aime mieux le fond que la forme, alors si le fond est reconnu, le style, je m'en contrefous presque, il vient tout seul. Donc merci.

Yeah.

 


  Feu
Feu
23-06-05
à 00:52

*_* Gg. C'est si bien dit.
Tant pis pour toi, tu l'auras voulu, tu es dans mes liens. Parce que ton style, écrit comme vécu, parce que tes mots, parce que tout ce que je ne parviens pas à écrire là. En tout cas, ravie d'avoir rencontré tes phrases. ;)

  Dezk
Dezk
26-06-05
à 21:24

Re:

Me voilà encore lié. Cette fois-ci, c'est pas emberlificoté, c'est enflammé. Haha.

Mes phrases te saluent, Feu. Parce que j'applaudis silencieusement les tiennes.




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